Il
ne me manquait, en ces temps difficiles, que la douleur de perdre un de mes
chats. L’âme de la petite Lysia, éternel chaton d’à peine huit ans, s’est
envolée hier vers un monde meilleur, celui que j’ai dans la tête et dans le
cœur. Et là, elle s’est installée pour longtemps.
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