Corliande

Auto édition

Auto édition

19 février 2021

De l'épopée aux simples contes

 

    Corliande était une longue, très longue histoire. Ce récit féerique nous contait l’odyssée de Baltos et Serylia, depuis leur petit village du sud vers le nord et la cité du mensonge.

    Après ce travail fastidieux, j’étais tenté par la rédaction de textes courts, en lien avec cet univers (d'autres, sans doute, auraient procédé à l'inverse). Il n’est pas indispensable d’avoir lu la trilogie pour les apprécier, mais certaines références peuvent échapper à un lecteur novice. La structure de l’ouvrage est assez linéaire. Là encore, nous partons du village, donc du sud, pour aller vers le nord. En chemin, nous rencontrons les nains et les sylphes des collines ; rejoignons les dieux animaux du Deis Paesina ; séjournons chez les automates serviteurs du temps ; traversons les plaines du centre ; prenons la mer vers l’archipel d’Opale ; explorons les froides régions du nord et, enfin, retrouvons une vieille connaissance, le conteur Gawein. Les huit recueils regroupent donc ces récits par zones géographiques. S’ils peuvent être abordés dans le désordre – pourquoi pas ? – il y a toutefois un fil conducteur qui les relie et certains s’enchaînent de façon logique. Cet ensemble de textes, qui ne sont pas tous des contes à proprement parler, fonctionne un peu à la manière des « Chroniques martiennes » de Ray Bradbury, ceci étant dit, bien sûr, en toute modestie. Je n’aurais pas l’outrecuidance de comparer mon « Livre de Baltos » à ce chef d’œuvre de la littérature de l’imaginaire.




Aucun commentaire :

Enregistrer un commentaire